Candaule

Nous sommes un couple complice et très amoureux. Nous sommes aussi très coquins et naturellement, cela nous a amené à faire du libertinage et à…
Mar 25 jan 2011 16 commentaires

J´ai deja envoyé une message pour toi... J´attend la reponse...

Antoine - le 31/01/2012 à 13h00

Moi aussi je cherchais sur le candaulisme et je suis tombé sur votre en rebondissant sur des blogs libertins :)

merci de nous faire partager votre découvertes et vos fantasmes

kriss64

kriss64 - le 01/02/2012 à 17h56

Bonjour, c’est Nadia…je me fais souvent bien baiser devant Karim (lailatvx), mon mari travesti, soumis et cocu. Il y a un truc qui lui plait énormément à ce petit cocu, à la petite bite…Comme il ne peut pas me baiser correctement, je fais appel à des étalons plutôt bien membrés. Ca, c’est classique. Mais quand l’un d’eux me plait, là je sors le grand jeu et je fais la pute pour que mon mari à genoux puisse vraiment comprendre ce que c’est qu’une femme qui désire se faire prendre. Souvent, c’est oral et là, je me fais baiser en missionnaire ou en levrette. Dans tous les cas, en accord avec mon amant, ce sont les dialogues qui excitent le plus mon cocu soumis quand il sait que mon petit trou va se faire bien défoncer par la grosse bite d’un mâle musclé et qu’après, il aura peut-être le droit de me lécher ou de nettoyer la bite de mon amant.

Exemple : devant un jeune mec bien foutu, je me suis mise à 4 pattes, je lui ai léché les couilles en le suppliant qu’il me lime la rondelle car mon connard de mari est incapable de me baiser convenablement. Je peux vous dire que mon petit puceau de mari a vite réagi. Il s’est carrément joui dessus sans même se masturber ! Il a du lécher le carrelage pour s’excuser!

Ce qui est le plus excitant pour mon mari Karim, c’est quand mon étalon joue le jeu…Mon jeune amant a bien compris que je voulais humilier mon époux ; alors, il me demande de le supplier pour qu’il me baise. Alors, je le supplie : « s’il te plait, baise-moi bien devant mon mari cocu! Donne-moi ton merveilleux zob ! Aie pitié de moi, enfonce-le là où tu aimes, là où j’adore ! Lime-moi, laboure-moi devant ce zamel (pédé en arabe marocain), ce bon à rien, ce sous-homme ! »

Mon amant me répond : Ton mari, ce pauvre mec n’arrive pas à te baiser car c’est une lopette…alors caresse-toi bien salope…c’est ça, cambre-toi…tu le veux mon zob, ça te changera de sa nouille ridicule, de son zizi de bébé….offre-toi comme jamais…ouvre tous tes orifices…Sois tu es ma chienne, sois tu restes avec ton cocu impuissant !

 

lailatvx - le 17/10/2012 à 12h14

J’étais en poste en Afrique et, comme là-bas tout est compliqué, nous avions un chauffeur qui accompagnait mon épouse pour tous ses déplacements.
Je qualifierais ma femme de cochonne, amoureuse de son homme.
Avant moi, elle avait eu des relations avec d’autres hommes et je savais qu’elle avait un faible pour les hommes de couleur.
Notre chauffeur était un black quelconque, pas très souriant et pour moi, il était impossible que quelque chose puisse se passer avec mon épouse.
Un matin, j’étais en ville pour une réunion et, celle-ci s’étant finie plus tôt, je décidais de passer à la maison pour prendre un café.
Je débarquais sans faire de bruit, la voiture était garée dans l’allée centrale, mais pas de trace de mon chauffeur. J’ouvrais la porte de la cuisine, personne pour m’accueillir.
J’allais ressortir quand j’entendis des râles venant de notre chambre à coucher. Je m’approchais sur la pointe des pieds, je passais la tête par la porte et je découvris ma femme, au lit avec mon chauffeur.
Cette salope était à quatre pattes, cambrée au maximum, la tête dans l’oreiller, se faisant défoncer le cul. Elle gémissait, hurlait en bougeant ses fesses, sous les coups de boutoir.
Ahmed était monté comme un âne, je voyais sa bite énorme, luisante, entrer et sortir du cul de ma femme, défonçant sa rondelle. Il coulissait en elle avec facilité, ses couilles tapaient sur les fesses de ma chérie qui l’encourageait en lui demandant de l’enculer plus fort. Il rentrait et sortait de son orifice distendu, posant ses mains sur la croupe de sa maîtresse pour admirer ce fessier qu’il défonçait avec son gros gourdin.
Je n’avais jamais vu mon épouse se déchaîner autant au lit. J’étais jaloux de la grosse bite d’Ahmed qui donnait tant de plaisir à ma femme.
Je ne pouvais pas détacher mes yeux du spectacle qui m’était offert, j’aurais dû intervenir et, au lieu de ça, je restais planté là, à regarder, ma bite gonflée par le désir, prête à exploser.
Le rythme s’accélérait, Ahmed baisait de plus en plus fort le cul de ma femme, elle criait des mots crus, encourageant son amant à en finir.
Ce dernier, sentant qu’il allait éjaculer, se retira du cul de ma femme, elle se cambra et posa les mains sur ses fesses pour écarter encore plus sa rondelle.
De longues giclées de foutre l’arrosèrent, graissant son œillet bien ouvert.
Je comprenais pourquoi ma femme avait pris autant de plaisir en voyant la bite d’Ahmed cracher son jus. Elle était veinée, puissante, large et très longue. Sa queue devait mesurer au moins 25 cm et plus de 5 cm de diamètre. Ma femme se retourna et prit à deux mains son sexe. Elle enfourna ce morceau de chair dans sa bouche et se mit à le pomper comme une furie. Elle, qui avait tant de mal à avaler ma queue d’habitude, s’enfonçait dans la gorge près de 20 cm de bite. Je ne la reconnaissais plus, elle était complètement accro à la grosse bite du black.
Je m’échappais sans faire de bruit et quittais la maison, encore troublé du spectacle auquel j’avais assisté. Je rentrais ce soir-là, à la maison, plus tard que d’habitude, retrouvant une femme épanouie.
Je savais qu’elle se faisait baiser mais elle ne se doutait de rien.

 

Après avoir découvert que ma femme se faisait baiser par notre chauffeur, je décidais de la piéger. J’installais une caméra-espion dans notre chambre, reliée à mon ordinateur portable.
Le matin avant de partir, je mettais la caméra en mode enregistrement et je pouvais ainsi contrôler ce qui se passait dans notre chambre à coucher.

Dès le lendemain de mon installation, je fus récompensé. Après s’être levée, douchée, ma femme revint nue dans notre chambre. La quarantaine, ma femme mesure 1,65 m et pèse 53 kg. Adepte de fitness, elle est bien faite, ses seins sont fermes, son ventre plat et ses fesses musclées. Elle prend soin d’elle au quotidien, se fait masser régulièrement et fait des UV toute l’année. Son pubis est entièrement épilé, ainsi que ses fesses.
Je la vis se planter devant le miroir et s’admirer sous tous les angles.
Puis, elle se mit à se caresser les seins, ses doigts jouant avec ses tétons. Sa bouche entrouverte confirmait qu’elle prenait plaisir à se caresser. Ses mains descendirent entre ses cuisses et elle se mit à jouer avec son bourgeon. Je l’entendais respirer plus fort, elle se cambrait, se laissant aller.
Après quelques minutes à se masturber, elle se retourna et se mit à quatre pattes pour mater son cul ferme et rebondi. Elle passa un doigt dans sa fente humide et se masturba à nouveau. Son abricot lisse était en feu, un autre doigt s’introduisit dans son sexe pour en ressortir peu de temps après et venir titiller sa rosette. Pour la petite histoire, ma femme prend son pied par le cul…..
Elle se cambra, posa son doigt sur son œillet lubrifié par son jus et l’introduisit dans son cul.
Elle se mit à faire tourner son doigt pour ouvrir son petit trou.
Sa rondelle très souple s’ouvrit rapidement, elle posa les mains sur ses deux globes de chair et les écarta, laissant apparaître son trou de salope bien dilaté.
Elle garda la position quelques instants, admirant son cul bien ouvert tout en prononçant ces mots crus : « ça, c’est un cul de salope aimant la grosse bite de black !».
Puis, elle se leva, enfila un string noir, se regarda à nouveau dans le miroir, se cambrant pour admirer ses fesses.

 

Contente d’elle, elle appela Ahmed qui devait se trouvait dans la cuisine.
Ce dernier arriva dans la chambre, quelques secondes plus tard, découvrant sa maîtresse à quatre pattes, un string noir dans la raie séparant ses deux globes de chair rebondis.
Elle lui demanda de baisser son pantalon et s’empressa de lui flatter ses couilles et sa grosse tige qui pendait. Sa queue au repos avoisinait les 18 cm et près de 4,5 cm de diamètre. Elle goba ses deux boules, les aspira, les fit rouler dans sa bouche. Elle se mit à lécher cette colonne de chair qui se redressait doucement, titillant du bout de la langue le gland gonflé. Elle tétait le gros fruit rubicond, aspirant goulûment cette tige qui se dressait fièrement. Après avoir joué avec, elle ouvrit grand la bouche et avala, cm par cm, la queue d’Ahmed. Elle salivait, pompait le gros morceau de chair qui palpitait, descendant de plus en plus loin, pour en prendre le maximum au fond de la gorge.
La bite du chauffeur était tendue, veinée, énorme, les deux boules gonflées se faisant malaxer par les doigts experts de ma salope de femme.
Ahmed était aux anges, il grognait de plaisir, encourageant mon épouse, en appuyant sur sa tête. Il matait dans le miroir le cul de ma femme qui n’arrêtait pas de se trémousser pour exciter son amant. Il lui demanda d’accélérer, elle pompait de plus en plus vite, il se dégagea d’elle et saisit d’une main sa queue. Ma femme ouvrit la bouche et reçut une p

lailatvx - le 17/10/2012 à 12h15

j'avais reussi a emmener ma femem ds une soiree echangiste ds un club parisien dans une banleiue proche

elel etait venue en me disant bien qu elelvenait pour voir mais sans participer, J'acquiesias deja bien content qu elel accepte de venir voir

mais uen fois dans l'ambiance cela l'a ecitee et quad un bel homme est venu l invite a danser elle n'a pas hesiter et sur la piste elel se  laissait carresser embrasser peloter, si bien qu'elle l'a suivi apres ds un etit salon et s'est faite sauter mais elle a voulu que j'assiste et quand le gars s'est enfoncé en elel elle m'a regardé ds les yeux et m'aa dit" là tu vois encjerie je te fais bien cocu en direct, j'ai sin sexe au fond de moin, regarde bien ça y est tu es vraimebnt cocu...je la regardais jouir avec ce type et lu demandais à un moment donnée" alors cherie c'est bon? oh oui me repndist elel c'est super bon et bien meilleur qu avec toi moncheri ah je jouis bien et quand le gars gicla il voluu se retirer mais ma femem le retint en lui aggripant les fesses et sit" non ne te retire pasn vas y jouis dans moi tout au fonc, emplis moi bien, ah c'est bon, j'aimmme, je jouis cheri ah je t'aime toi mon pemier amant et elle l' embrassa passionément.

en rvenant chez nosu dans la voiture elle me dit " alors cheri tue s content tu es cocu et tu as bien vu tu as bienassisté a ton cocufiage,j'ai beaucoup aimé, j'ai bien joui et beaucoup plus qu avec toi mon cheri et il m'a bien rempli, j'ais enti son sperme gicler ds mon ventre beaucoup plus abondant que le tien et les jets frappauent fort dans moi , c'etait nouveau pour moi, car toi je sens a peine quand tu coule en moi et puis il avait un sexe plus volumineux que ton petit zizi e il a duré beaucoup plus longtemps que toi, bref j'ai ete heureuse avec lui dix fois plsu qu'avec toi, voilà tu l'a s voulu, ça te fait quoi detre cocu mon cheri?

j'ai adore et ça m'excite, regarde je bande, touche, branles moi...

alors ça te plait vraiment que ej couche avec un autre et que je jouis plus qu avec toi? ça ne t humilie pas?

Si bien sur mais j'aime ça ma cherie, tu recomemnceras??

ça oui compte sur moi maintenant que j'y ai goûté je ene vais pas y renoncer, c'est tellement bon et je le ferais chez nous ds notre lit devant toi je thumilierai en jouissant mieux et en me moquant de ton petit zizi, mon petit mari cocu..

 

 

 

jackpot - le 10/12/2012 à 23h56

Ma femme et moi accros du même zob

Cet après midi là, je reviens à la maison un peu tôt, tiens, la voiture de mon mari Karim (lailatvx sur le net) est là. Bizarre, j’entre comme d’habitude par le garage pour pénétrer dans la cuisine, des bruits étouffés semblent parvenir du salon.
Je prends une véritable gifle quand je vois assis, entièrement nu sur le canapé, un noir immense et ça ne s’arrête pas là, mon mari entre ses cuisses, nu lui aussi, lui suce la queue, c’est du moins ce que j’en déduis ! Que pourrait-il faire d’autre, sa tête monte et descend lentement, guidée par les grosses paluches du black.
Mon premier réflexe est de fuir mais, partagée par le dégoût et la curiosité, la curiosité l’emporte. L’homme vient de croiser mon regard, je lui fais signe de ne pas bouger. Pour toute réponse, il me sourit, dans la position qu’ils ont, je ne vois pas cette queue qui doit être monstrueusement longue car la distance qui sépare la bouche du bas ventre est quand même énorme.
Soudain, mon homme rugit, tousse et se relève, j’ai juste le temps de m’effacer.
- Dis donc, tu as failli m’étouffer avec ton foutre, tu me baises maintenant, Patrice ?
L’autre regarde dans ma direction et marmonne un ‘ si tu veux ‘
Mon mari Karim est déjà accroupi sur le canapé, la tête posée sur l’accoudoir et se tient les fesses écartées.
- Tu peux y aller, je me suis lubrifié le conduit.
Dans cette position, je vois tout de profil, entre les mains du noir une matraque hors normes, la prune grosse comme un œuf avance et se frotte entre les fesses offertes, mon mari grogne de douleur ? Ou de plaisir ? Toujours est-il que le zob disparaît peu a peu hors de ma vue, bientôt les deux corps sont collés l’un a l’autre, une image irréelle : comment peut-il absorber une telle queue….
- Attends un peu que je m’habitue avant de bouger ….
Gêné, l’homme me regarde toujours, je lui souris en levant un pouce, rassuré il se met à ressortir jusqu'à la rondelle pour repartir plus fort en avant, mon mec feule comme un tigre ! L’homme ne me quitte plus des yeux, je viens de me rendre compte que je me touche la moule par-dessus mon jogging ! Écœurée, excitée, j’en ai assez vu, je quitte
la maison en catimini …
Des centaines de questions se bousculent, ce Patrice black je le reconnais, c’est un ouvrier de la boite où mon mari bosse ! Est-ce la première fois qu’il se fait mettre ? Non sûrement pas, ils ont l’air proches ! Comment en est-il arrivé là ? Je ne lui suffis plus ? Mais quand même, cette queue énorme dans le cul de mon mari ……Ma chatte fourmille de mille picotements, quel effet ça doit faire dans une gaine vaginale étroite ? Et si ……..

- Bonsoir chéri ! Bonne journée ?
- Oui ! Oui et toi ?
- Excellente, je reviens de la gym, je suis en pleine forme, ha tiens au fait, j’ai croisé un de tes ouvriers, un grand black, tu vois qui je veux dire ?
- Heuuuu non ….. Ha peut être Patrice ……je ne vois que lui. Hélas le pauvre bougre, j’ai préparé une demande de mutation pour lui, il n’est pas assez efficace, bien sûr il perdra un peu d’argent là où il va aller mais c’est la crise.
- Une demande de mutation ? Ça veut dire qu’il est muté d’office ou bien c’est la porte s’il refuse ?
- On peut voir ça comme ça …..Bon, je vais me doucher
Dés qu’il a tourné le dos, je fouille dans sa poche, son portable est là, je sais ça ne se fait pas, mais là, c’est pour la bonne cause …s’ils sont amants depuis quelques temps, il doit avoir son numéro …Voilà : Patrice …. Je note, et ce mouchoir en papier qui traîne dans le fond du canapé ? Pouah ! Il est littéralement imbibé de sperme, tiens il va me servir …..

- Tu es sûr que c’est la bonne solution pour se débarrasser d’un homme dont on a plus l’utilité ? Il a peut-être son mot à dire … c’est quoi ce papier sur le canapé ?
Je fais mine de vouloir m’en emparer, il se précipite pour le saisir avant moi
- Bah, c’est rien
- Muuuunmmm, il sent une drôle d’odeur ton papier, fais voir ?
- Mais non c’est rien je te dis, fous-moi la paix à la fin !
- Houlà ! Bon, si j’étais toi, je réfléchirais avant de balancer cet homme, de plus il pourrait venir faire les bricoles que tu dois toujours entreprendre et que tu ne fais pas
Il accuse le coup, a-t-il compris que j’avais tout découvert ?
- Je vais voir ce que je peux faire …..Mais je ne veux pas le voir à la maison, s’il vient je sortirais le temps qu’il sera là
- C’est tout à fait ce que je désire …..
Dès le lendemain, j’appelle Patrice :
- Allo Patrice …..Bonjour, je suis madame Nadia, l’épouse de Karim, nous nous sommes aperçus hier
- Hooooh madame, c’est pour hier ? Je vous demande pardon, votre mari m’a un peu forcé la main, je ne le ferai plus, juré !
- J’aimerais vous parler, mais ce n’est pas de vous deux que je veux vous entretenir. Je vous attends au café R… venez c’est important…..
- J’y serais madame.

Volontairement, je me suis habillée très court, mes seins pointent sous le corsage léger.
- Bonjour Patrice, asseyez-vous près de moi
- Bonjour madame, vous êtes très jolie
-- Merci, bon voilà, samedi vous allez venir à la maison, officiellement vous venez travailler mais … voilà le travail qui vous attend :
Lentement, je relève ma jupe déjà très découverte et j’écarte les genoux, mon string apparaît.
- Madame, qu’est-ce que vous voulez dire ?
- Touche …
Je lui prends la main pour la poser entre mes cuisses, la mienne se pose sur la bosse énorme qui vient de se former à l’ instant sur son pantalon
- Tu vas travailler là, entre mes jambes avec cet outil là ……depuis que je l’ai vu, j’ai envie de ta bite dans ma chatte
- Madame, ça me gêne …….
- Mon mari est à deux doigts de te faire muter, je peux empêcher ça et même sans doute te faire avoir de l’avancement, alors ?
- C’est oui !!!!

- Chéri, Patrice vient bricoler cet après midi
- Ha, ça tombe bien, je dois aller en rendez vous, je ne serais pas là de bonne heure, n’aie pas peur de faire bosser ce fainéant !
- Compte sur moi …..
Fébrile, j’attends son arrivée en petite sortie de lit en dentelle, à quoi bon perdre un temps inutile à se découvrir, ha, le voilà en combinaison de travail !
- Hooooh madame, vous me gênez …..
Sa gêne se transforme illico en toile de tente à hauteur de son bas ventre
- Libère ta gêne Patrice et appelle-moi Nadia, à moins que tu n’aimes pas les femmes ?
- Je les adore Nadia mais elles ont peur de ma …….
Je saisis la fermeture éclair du vêtement et la baisse jusqu’en bas, la queue bandée respire à l’air libre, je passe une main dessous et avec l’autre, je caresse cette poupée qui tressaute.
- Elle ne me fait p

lailatvx - le 08/08/2013 à 05h41