Candaule

Bonjour,

Vos récits sont touchant, vous semblez être un couple bien dans ses baskets, ce qui vous rend encore plus désirables.

Je vous souhaite d'avoir trouvé la bonne personne pour vos rencontres. Si tel n'est pas le cas, contactez-moi, je serais ravi de faire votre connaissance par message, et pourquoi pas....

En tout cas, votre blog est très réussi, continuez...

Cordialement,

Nicolas

nicolasbiss@free.fr

J´adore vos recits et j´adore aussi le blog de Olga qui sait tres bien faire cocu son mari.

Pour moi le plus grand plaisir c´est de voir ma femme avec son amant et comme je suis un peau bi, j´adore aussi sucer sa bite avant de la metre dans le vagin de ma femme

j'adore votre récit, j'aimerai rencontrer un couple à votre image. J'aime les jeux à 2 ou à3, me faire sucer pendant que je m'occupe d'un joli minou, c'est bon aussi et j'aime aussi m'occuper de Madame sous l'oeil attentif du Mari.

Ma femme Nadia et moi avions sympathisé avec notre voisin, un homme d’âge mur. Nous nous étions rendus un soir chez lui, suite à une panne de télé tandis que nous suivions fidèlement une série dont le dénouement était proche. C’est avec joie que nous avions accepté alors son invitation à venir regarder la fin de cette série avec lui après s’être plaint à lui dans l’ascenseur.

C’était le genre baroudeur, mec célibataire, qui donnait l’impression de n’avoir peur de rien, et qui avait vécu des tas d’aventure toutes aussi palpitantes les unes que les autres. Il avait toujours quelque chose à raconter. Pour ma part, je le soupçonnais d’inventer, ou bien d’arranger la vérité, mais Na dia ma femme buvait littéralement ses paroles, avec des étincelles dans les yeux. Pour ma part, je me sentais très mal en sa compagnie, car je savais que je ne faisais pas le poids par rapport à lui, et ce sentiment était exacerbé lorsque je voyais que ma chérie était sous le charme de ce type.

Il invita Nadia à s’asseoir sur le canapé, tandis qu’il m’indiquait un fauteuil. Pour sa part, il prit place à coté de ma chérie. Ce qui, je l’avoue, me rendit fou de jalousie. Nous regardions alors la fin de cette série, puis une fois cette dernière terminée, je n’avais qu’une envie, c’était de prendre rapidement congé de cet hôte plus que gênant. Il était assis vraiment très proche de ma femme, et celle-ci ne l’avait même pas remarqué, tout du moins, si elle l’avait constaté, elle n’avait en tout cas rien fait pour s’en éloigner.

Je fis mine de me lever, remerciant ainsi notre voisin de nous avoir permis de profiter de son téléviseur. Je pensais être suivi dans mon élan par ma femme, mais elle ne bougeait pas. Mon voisin m’a demandé de rester un moment, qu’il n’y avait pas le feu au lac, expression qui jusqu’à aujourd’hui m’énerve au plus haut point car il l’utilisait alors sans cesse. Pff, comme si un lac pouvait prendre feu !

Puis il se leva pour aller chercher des boissons. Je fis les gros yeux à Nadia, lui faisant comprendre que je ne voulais pas rester. Elle me calma en me faisant comprendre que ce n’était pas très poli de partir si vite. Je me foutais totalement d’être poli avec lui. Je rongeai donc mon frein en silence. Il revient avec des rafraîchissements qu’il posa sur la petite table devant nous. Après quelques bières, je dus me rendre à contre cœur aux toilettes, laissant ma femme avec ce dragueur, qui ne se gênait pas pour complimenter sa tenue ou son parfum.
D’autant que ses paroles s’accompagnaient tout le temps de gestes déplacés, une main sur sa cuisse, ou bien une main autour de son épaule, etc…

Si la situation me mettait mal à l’aise, ce n’avait pas l’air d’être le cas de ma femme qui riait beaucoup à l’écouter parler, et qui n’avait pas de réflexe de recul, lorsque ce dernier posait la main sur sa cuisse nue dont la petite jupette qu’elle portait ce soir ne masquait presque rien. J’avais tenu autant que j’avais pu, mais là, il fallut vraiment que je me rende aux WC. Après m’être excusé, je me dépêchais de rapidement faire mon affaire afin de ne pas les laisser tous seuls trop longtemps.
Alors que je revenais dans la pièce, je fus très surpris de les voir tous deux enlacés. Ils échangeaient un baiser. La bouche bien ouverte, ma femme roulait une pelle à ce vieux, sans se soucier de moi. Je pouvais voir la bouche de ce salop qui prenait possession de la bouche de ma femme, et sa langue qui devait fouiller le moindre recoin de sa bouche. Je crus défaillir, lorsque je m’aperçus où la main de Nadia était placée. Cette salope avait mis sa main à l’intérieur du bas de survêtement que notre voisin portait. Au vu des mouvements de sa main, il n’y avait pas de doute, elle était en train de le branler ! Dire que je ne m’étais absenté que quelques minutes !

Il était hors de question pour moi de m’interposer car, avec la force de ce type, il m’aurait envoyé au tapis sans effort. Je suis plutôt du genre à être taillé comme une allumette et les conflits n’ont jamais été mon fort, alors que pour sa part, c’est plutôt le genre de type baraqué, faisant beaucoup de sport, dont certains extrêmes. Je restais figé devant la porte du salon à les regarder se rouler un baiser passionnant, tandis que ma femme branlait la bite de ce salop.
Il ouvrit les yeux et me regarda droit dans les yeux.
- Assis-toi et profite du spectacle, me dit-il
Cette phrase ressemblait plus à un ordre qu’autre chose. Sa voix résonnait dans ma tête, je savais à ce moment là que j’aurais du agripper Nadia par le poignet et que j’aurais du l’emmener de force hors de chez ce voisin. Au lieu de ça, j’obéis docilement et repris ma place sur le fauteuil face à eux. Ils avaient déjà repris leurs baisers, alors que mon épouse n’avait même pas jeté un œil en ma direction.

Ce sale type passait la main sous le pull de ma femme, lui pelotant généreusement les seins. Elle semblait apprécier la caresse, puisque toujours sans un regard en ma direction, c’est elle qui ôta son pull. Il s’empressa alors de lui défaire son soutien-gorge, libérant ainsi sa grosse poitrine qu’il goutta allègrement de sa bouche, non sans m’avoir au préalable jeté le soutif au visage en me demandant de le garder.

Elle ôta la main de sous son survêtement, posait à présent ses mains sur l’élastique de son pantalon, juste au niveau des hanches, tirant un peu sur le tissu. Il souleva son bassin pour faciliter la manœuvre de ma chérie. Elle put ainsi descendre le pantalon de cet homme sans aucune difficulté. Elle stoppa sa progression à mi-cuisses, cela lui suffisait car elle avait pu ainsi libérer son sexe. Bien qu’elle connaissait déjà sa queue grâce à sa main qui le branlait par dessous le vêtement, elle le découvrait visuellement, en même temps que moi. Je pensais jusqu’alors avoir une bite de taille honorable. Je venais de me faire reléguer au rang des petites bites en quelques secondes, car cet homme possédait un membre d’une taille à faire peur. Mais